Interlude : petit poème pour David
Voici un texte écrit pour David il y a un mois, je vous le livre:
Tu habilles ma vie des vives couleurs du rire
Ta joie de vivre résonne comme de la grande musique
Tu sembles si heureux, or me voyant partir
Jamais tu n’arbores un regard mélancolique.
Ton père et moi souhaitons de cadeaux te couvrir.
Surtout ne pas donner de formules magiques
Transmettre nos valeurs, te voir t’épanouir
Qu’une belle vie tu puisses avec nous construire
Dans la tourmente sois confiant en l’avenir
Que j’entende longtemps cette jolie musique !
Pour changer un peu des photos de David et de mes créations de sculpture et de peinture..
Après prise en compte d'une remarque très judicieuse de Philippe du Net (non ce n'est pas une particule!), version légèrement différente:
Tu habilles ma vie des vives couleurs du rire
Ta joie de vivre résonne comme de la grande musique
Tu sembles si heureux, or me voyant partir
Jamais tu n’arbores un regard mélancolique.
Ton père et moi souhaitons de baisers te couvrir.
Surtout ne pas donner de formules magiques
Transmettre nos valeurs, te voir t’épanouir
Qu’une belle vie tu puisses avec nous construire
Dans la tourmente sois confiant en l’avenir
Que j’entende longtemps cette jolie musique !
Après les dyptiques, les bi-poèmes?
Tu habilles ma vie des vives couleurs du rire
Ta joie de vivre résonne comme de la grande musique
Tu sembles si heureux, or me voyant partir
Jamais tu n’arbores un regard mélancolique.
Ton père et moi souhaitons de cadeaux te couvrir.
Surtout ne pas donner de formules magiques
Transmettre nos valeurs, te voir t’épanouir
Qu’une belle vie tu puisses avec nous construire
Dans la tourmente sois confiant en l’avenir
Que j’entende longtemps cette jolie musique !
Pour changer un peu des photos de David et de mes créations de sculpture et de peinture..
Après prise en compte d'une remarque très judicieuse de Philippe du Net (non ce n'est pas une particule!), version légèrement différente:
Tu habilles ma vie des vives couleurs du rire
Ta joie de vivre résonne comme de la grande musique
Tu sembles si heureux, or me voyant partir
Jamais tu n’arbores un regard mélancolique.
Ton père et moi souhaitons de baisers te couvrir.
Surtout ne pas donner de formules magiques
Transmettre nos valeurs, te voir t’épanouir
Qu’une belle vie tu puisses avec nous construire
Dans la tourmente sois confiant en l’avenir
Que j’entende longtemps cette jolie musique !
Après les dyptiques, les bi-poèmes?
Commentaires
Je pense que David reliera ce poème avec beaucoup d'émotion quand il sera grand.
Nadette